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Notre diaporama

 

 

Les élèves de 6e2 du collège George SAND de La Châtre vont vous présenter le travail qu’ils ont réalisé sur les pièges utilisés par les plantes carnivores.
Dans la classe chaque groupe s’est intéressé à une variété de
plante carnivores, et nous avons recherché des informations pour
mieux les connaître. Nous avons ainsi découvert qu’il en existe
plus de 635 espèces différentes.
Les plantes carnivores sont présentes pratiquement partout sur notre planète. On en trouve sur tous les continents, elles sont absentes seulement des régions les plus sèches et des pôles.
Les plantes carnivores présentent toutes de nombreux points communs, comme par exemple : d’être constituées de cellules et d’avoir des feuilles. Mais aussi de former des pièges, d’attirer des proies, de les capturer et de les digérer.
Un premier type de piège est appelé piège à loup. On le trouve
chez la Dionée. Elle possède des feuilles en forme de piège. Elles
peuvent se refermer, lorsqu’une proie comme un insecte vient
toucher les trois poils qui se trouvent de chaque côté. Il est alors retenu puis digéré par les liquides digestifs qui s’échappent de la zone rouge.
Nous avons réalisé une maquette de Dionée avec du polystyrène
et du fil de fer afin de vous présenter son fonctionnement.
Le Droséra est un exemple de piège à glue. Les insectes sont
attirés par l’odeur et la couleur des petites boules. Mais lorsqu’ils les touchent, ils se retrouvent collés et ne peuvent plus s’échapper. Le liquide digestif qu’elles contiennent liquéfie alors peu à peu l’intérieur des insectes pour nourrir la plante.
Nous avons réalisé notre maquette de Droséra avec des boules de polystyrène, et du fil de fer. Puis nous l’avons peinte en rouge pour les boules, et en vert pour la feuille du bas.
Le troisième piège est appelé piège à urne. On le trouve chez les népenthes, et chez le sarracenia. La plante forme un espèce de vase avec un rebord de couleur attirante. Il contient aussi des parfums qui vont attirer les insectes. Si l’un d’entre eux se pose sur le bord, il finira par glisser et tomber dans le liquide qui est au fond. Il ne pourra pas s’échapper et se noiera. Puis il sera digéré par la plante ou par des microbes présents dans le liquide.
Notre maquette a été réalisée avec du grillage, des bandes de
plâtre, un seau, et de la peinture. Une maquette plus petite a aussi
été réalisée avec une bouteille, du carton et de la peinture.
Nous avons découvert une quatrième sorte de plante carnivore beaucoup plus discrète qui capture ses proies dans le sol. Le Genlisea possède en effet des racines creuses et il peut aspirer puis digérer les micro organismes présents dans le sol.
Nous avons réalisé notre maquette avec du carton, des tubes et de la corde. Et nous avons également utilisé de la peinture.
La culture des plantes carnivores exige de la lumière, des
arrosages fréquents, et réussi mieux dans une serre ou un
aquarium.
Il ne faut pas utiliser de produits chimiques, et ne pas leur donner
trop à manger. Il faut éviter de les toucher.
Leur culture reste délicate.
Nous avons eu beaucoup de plaisir à réaliser ce travail, et nous voulons remercier tout ceux qui nous ont permis de le faire. En particulier : Graines d’explorateurs et les Rencontres Jeunes Chercheurs de Châteauroux.

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